
Cette citation est extraite de la dernière pièce de théâtre composée par sainte Thérèse-Bénédicte de la Croix, (Edith Stein) deux mois avant sa mort en 1942. Elle a été écrite à l'occasion de la fête de saint Antoine de Padoue (13 juin) pour fêter Mère Antonia-Ambrosia Engelmann, prieure du Carmel d'Echt.
Le thème central de cette pièce tourne autour de la paix, une paix que l'on ne peut atteindre, même en pleine guerre mondiale, que dans le profond du cœur. Un cœur qui s'ouvre au sens et à la signification des Sacrés Cœurs de Jésus et de Marie.
À l'heure où les ténèbres ont envahi le monde, Édith Stein y exprime un message de paix, fruit de l'espérance messianique. Le mystère de la communion des saints, également présent dans cette pièce atteste, à la conscience catholique la victoire définitive du Christ sur les puissances du mal. Le rôle principal de cette pièce est attribué à l'archange saint Michel.